mercredi 6 janvier 2010

De l'art avec un soupçon de poésie...

Immortel (ad vitam)  Immortel, Ad Vitam est un film de science-fiction français de Enki Bilal, sorti en 2004.  
  L'histoire se situe en 2095, dans un New York futuriste et sinistré, peuplé d'humains normaux, d'humains génétiquement modifiés et de mutants. La ville subit le joug d'une dictature et, telle Metropolis, est divisée en trois zones stratifiées.
  Les conditions ambiantes dans Central Park ne sont plus compatibles avec la vie d'un mortel et il a été declaré « zone interdite ». Au-dessus du parc une pyramide mystérieuse apparaît. À l'intérieur, les dieux égyptiens jugent l'un des leurs, Horus. Avant que celui-ci ne perde son immortalité, il lui est accordé sept jours sur Terre.
Au début du film, un groupe de mutants est arrêté, parmi lesquels une femme du nom de Jill. Elle a des écailles éléctriques sur la tête, des organes internes déformés ; après sa mue, des cheveux bleus et une anatomie humaine. Malgré son apparence, Jill ne semble âgée que de trois mois et possède certaines capacités surnaturelles qu'elle ne connait qu'en partie. Elle est un des rares êtres capables d'engendrer un dieu. Jill se soustrait à l'emprise d'Eugenics Corporation, une multinationale pharmaceutique violemment contestée pour ses activités et son lobbying. Le principal soutien de la jeune femme est Jack Turner, qui enclenche le processus de sa naturalisation comme humaine.
  Horus recherche Jill pour s'accoupler avec elle, avant que l'immortalité ne lui soit retirée. Pour ce faire, il a besoin d'un corps masculin non exposé aux modifications génétiques pratiquées sur presque chaque humain. Il trouve celui-ci en la personne de Nikopol, un détenu politique qui a passé les 30 dernières années de sa vie en cryogénie. Il était enfermé pour rébellion contre les Aparthéïdes et pour avoir dénoncé la collusion entre Eugenics et le gouverneur. Horus prend possession du corps de Nikopol pour inséminer Jill.
                                

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire